| | What is truth if not an illusion? | Le Courrier des Lecteurs Parce que votre avis compte.
La Gazette est sortie, et vous l'avez peut-être lue, n'est-ce pas? Eh bien... C'est maintenant à vous de jouer en nous écrivant vos idées, vos impressions, votre opinion au sujet de quelque chose qui vous a plu ou déplu au sein de ce journal ! Laissez libre court à votre opinion, à votre parole, et dites nous tout! Seulement, nous préférons que vous usiez du code laisser ci-dessous afin de nous répondre ! N'hésitez pas à hurler ou à vous extasier, faites comme bon vous semble!
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un avis?
Dernière édition par Mirage Stormbringer le Lun 23 Déc - 21:33, édité 3 fois |
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| | What is truth if not an illusion? | répertorier les aventures Mon nom est Nom+Prénom et je viens répertorier un rp, bien qu'il ne soit pas finit. Je souhaite le placer au mois de nom du mois en l'année 1275/1276. Voici le petit code pour vous aider à répertorier mon aventure :
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Dernière édition par Mirage Stormbringer le Lun 23 Déc - 21:29, édité 1 fois |
| | What is truth if not an illusion? | répertorier les aventures blblblbl
blabla bpblop skishskish meeeeh moooooh sascha
Kissing death and losing my breath. Adam Ulver Isenhart & Nuage Polaris de SpallaBoy with a broken soul, heart with a gaping hole. Dark twisted fantasy turned to reality. Kissing death and losing my breath. Midnight hours cobble street passages, Forgotten savages, forgotten savages. Il pleut. Un constat, juste.. Un constat de la météo de Novigrad, quelque chose à laquelle tu t’es habitué depuis que tu as déposé tes valises ici, au milieu de Velen, au milieu de cette Temeria ravagée par ce que la guerre a pu engendrée d’une certaine manière. Tu observes la pluie qui s’écoule depuis la fenêtre de ta chaumière, tes doigts tapant nerveusement contre le rebord. Tu aurais dû sortir aujourd’hui, tu avais prévu de passer voir Dany, voir peut-être Lelio au passage ou de faire un énième saut ci et là chez d’autres avant de s’installer dans une taverne pour jouer quelques sons de vièle ou de luth avant de dormir à la belle étoile, sous un pont ou sur les quais, ou mieux, sous une arche sur la place du hiérarque. Mais non. La pluie était tombée très tôt ce matin, avant même que tu aies le temps de te lever et de voir la tristesse qui se gonflait dans le ciel sous formes de gros nuages noirs. Un comble pour toi, puisque tu portais le nom de ce même phénomène météorologique. Tu n’étais pas si différent d’ailleurs, de ceux dont tu empruntais le nom. Tu protégeais de la trop forte puissance des rayons du soleil parce que tu l’embrassais avec l’amour d’un être solaire, mais tu pouvais aussi de gorger de grisâtre qui ressortait sous différentes formes que tu ne dévoilais à quiconque. Cependant, il en demeurait que tu étais cloîtré chez toi et déjà l’anxiété commençait à infiltrer tes pores, glissant sous ton épiderme comme un virus, un parasite qui infesterait bientôt la totalité de ton être. Tu le sais, tu le sens, et tu n’as personne pour chasser le monstre au loin, alors le mieux que tu puisses faire, c’est essayer de t’occuper, essayer de trouver quelque chose pour que le monstre reste le plus loin possible, pour que peut-être, ta journée ne soit pas complètement détruite. Alors tu quittes la fenêtre, d’un pas félin, presque gracile, pour rejoindre la petite malle qui traîne dans un coin de la pièce, à côté d’une étagère à peine rangé sur laquelle une plante tente vainement de vivre. Ce n’est pas que tu n’aimes pas les plantes, tu trouves ça très joli, notamment chez Lelio, mais… Tu as l’impression que dès que tu essayes de bien faire, elles finissent par mourir alors, tu continues d’essayer, mais si ça semble être peine perdue. Tu ne peux juste pas abandonner une plante sous prétexte qu’elle est malade, mais tu ne sembles juste pas être bon pour ça. Peut-être que tu n’as simplement pas toutes les instructions sous la main, peut-être. Il en demeure que tes doigts détachent lentement la sangle qui maintient le coffre pour l’ouvrir et ainsi prendre ce dont tu as besoin à l’intérieur : deux petits pots remplis de peinture ainsi que quelques pinceaux avant de te lever. Tu t’installes devant ce qui te sert de cheminée, à même le sol, avec la toile déposée devant toi. Tu as un chevalet – fabriqué par ton paternel adoptif – mais tu préfères, parfois, rester sur le sol.
Tu passas, ainsi, plusieurs heures à gribouiller sur la toile, remplissant le blanc par un tumulte de couleurs sans visages ni formes, commençant avec l’aide de tes pinceaux pour finalement appliquer la peinture du bout des doigts. La composition est informe, se découpant en lignes parallèles de couleurs abstraites et tu ne sais pas vraiment ce que c’est censé représenter, mais ça te plaît, d’une certaine manière. C’est peut-être brouillon, mais c’est vivant. « C’est moche, Nuage. C’est pas vivant, c’est mort, comme toi au fond. » Tes yeux s’écarquillent soudainement à l’entente de ta propre voix dans ta tête, brûlante comme de l’acide, mais tu essayes de faire abstraction en prenant une deuxième toile, et de recommencer une autre composition, tout aussi fluide, tout aussi abstraite, tout aussi colorée. Quelque chose que tu aimerais pouvoir appliquer sur les murs de la ville, avec un peu de chance, quand tu y reviendras le lendemain, si la pluie s’est calmée. Tu ne veux pas rester plus longtemps entre ces murs, ils t’oppressent si largement, si fortement que c’est parfois l’asphyxie qui te menace, à grands coups de pelle. Lorsque ta deuxième composition est finie, tu l’observes pendant quelques minutes, le blanc se détachant parfois du bleu que tu as appliqué, du rouge qui louvoie entre les couches de jaune et de vert. Et tu es satisfait. Ce n’est pas forcément très joli, mais tu apprécies. Ce n’est pas quelque chose que tu pourrais donner à quelqu’un, personne ne mérite d’avoir ce genre de choses chez soi, à ton sens, ni même dans une quelconque galerie, mais ça te parle, ça te permet d’évacuer un peu de la douceur qui coule entre tes veines ou un peu du tumulte qui agite tes neurones. « On est au moins d’accord là-dessus, personne ne voudrait de ça chez soi. Regarde comme c’est laid ! » Tu sens les larmes qui te montent aux yeux, tu sens la douleur qui irradie de tes côtes mais également de l’arrière de ton crâne, et tu as juste envie de fermer les yeux et d’oublier qu’elle est là, qu’elle te martyrise en permanence. Cependant, tu reposes tes yeux sur les deux toiles et tu as l’impression que les formes ont changées, ont perdues en intensité et que la couleur s’est voilée dans une infamie d’expression artistique. C’est laid. C’est immonde. Comment tu… Non. C’est laid. Un premier sanglot t’échappe, brusquement, secoue ton corps déjà frêle. « C’est moche, c’est laid, c’est immonde… » Ta voix se brise alors que tu entends la voix derrière ton crâne qui approuve tes paroles et c’est ton poing qui s’enfonce dans la première, tes petits doigts venant l’éventrer sans ménagement, arrachant les pièces de couleur, puis dans la seconde, ne laissant ainsi que des morceaux éparpillés de couleur. Tu te recroquevilles, tes genoux contre ton torse tandis que tes mains se posent sur tes joues, les tâchant de quelques derniers empreintes de couleur. Tu te balances doucement, d’avant en arrière, en essayant d’étouffer du mieux que tu le peux les sanglots qui échappent à ton corps bien trop fragile avant que tu ne te lèves finalement, quelques minutes plus tard, les yeux encore embrumés par la déception et les larmes qui l’accompagnent. Par malheur, dans ton mouvement, tu fais rouler un pot de peinture qui vient créer un arc de cercle bleu sur le parquet. Tu essayes de rattraper, de nettoyer un peu, mais tu te sens si faible, si stupide, si idiot de ne pas avoir fait attention. « Imbécile. » Ce simple mot t’envoie dans la même spirale que d’habitude : celle où tu sens que tu vas perdre pied, que l’anxiété te consume. Tu redresses juste le pot, à genoux sur le sol, tes deux mains à plat sur ton pantalon et tu essayes d’inspirer, d’expirer, lentement, avant de te lever. Tu as mal, si mal. Tu te sens stupide, pathétique, pitoyable et tu n’as même pas besoin de te concentrer pour entendre l’affirmation qui vient de cette voix qui est la tienne. Tu rejoins l’étage avec un peu de mal, et tu laisses lentement tomber tes vêtements, visant la baignoire pour laver la peinture qui traîne partout sur ton corps désormais. L’eau n’est pas froide, heureusement, et c’est uniquement grâce à la température ambiante de la pièce qui réchauffe l’eau que tu as mis dans la bassine le matin même. Tu glisses d’abord le bout de tes doigts à la surface, évitant à tout prix ton reflet, avant que ton corps tout entier ne se glisse à l’intérieur. Alors, bien évidemment, l’eau n’est pas aussi chaude que tu l’aimerais, mais ça pourrait être bien pire. Tu inspires, alors que tu t’enfonces totalement sous l’eau, de façon à ce que le liquide puisse nettoyer un peu les traces de peintures sur ton visage. Ce n’est qu’après que tu attrapes le savon pour le glisser là où tu sais que tu dois te nettoyer, méticuleusement, bien que ta concentration et tes pensées soient ailleurs, perdues dans une contrée lointaine de ton cerveau. Au bout d’un moment, ta peau est rougie à force de nettoyer et tu aurais pu te lever, te rhabiller et t’endormir, aussi simplement que ça, mais.. Ton œil est attiré par la lame posée sur le meuble où d’autres ustensiles sont. Tu essayes de te convaincre que tu n’en as pas besoin aujourd’hui, que ça va, jusqu’à ce que la voix résonne à nouveau, avec un rire. « Vraiment ? Tu es un déchet, Nuage. Un vrai déchet. Et tu te crois vivant ? Tu te crois bien ? Arrête de mentir. C’est faux, on le sait tous les deux. » Un couinement échappe à tes lèvres alors que tes doigts s’emparent de la lame, dans un geste désespéré de la faire taire et la première entaille apparaît, dans un geste purement instinctif, venant entailler tes côtes, à droite, la douleur brûlante venant te rappeler à quel point tu vis, malgré tout. Que tu n’es pas mort, que ça va, que tu te tiens toujours debout, malgré cette douleur persistante derrière ton crâne. Tu inspires, expires, replis tes jambes contre ton torse, laissant ton front tombé sur tes genoux avec un soupir alors que tu sais que le sang s’exfiltre de ta peau, mais tu t’en occuperas plus tard. « Imbécile, incapable, stupide enfant au nom débile ! Comme si… Comme si te faire du mal allait te donner de la légitimité à vivre ! Comme si on pouvait encore t’apprécier après ce que tu fais. Tu es juste une infamie. » Tu te recroquevilles encore un peu, comme si c’était encore possible, les larmes affluant sur tes joues alors que les mots deviennent de plus en plus persistants dans ton crâne, cependant.. Ta voix se dresse, plus forte, plus légitime, mais surtout emplie d’un désespoir et d’une détresse qui se compose par ton propre tumulte. « Tais-toi ! Tais-toi ! Mais tais-toi ! Je… Je veux plus t’entendre ! » Tu as parlé fort, comme si augmenter le volume sonore de ta voix allait la chasser, mais tu sais que non. Tu sais qu’elle sera toujours là, comme un fantôme derrière ton dos, comme un monstre prêt à attaquer sa proie, à se fondre sur elle. C’est ce que tu es : une proie pour ta propre conscience, et ta main, incontrôlable, portant la lame, s’abat sur ton avant-bras, entaillant encore et encore cette peau déjà martyrisée par bien des coups qui se dévoilent sur ton épiderme en volutes infernales alors que ton poignet retombe mollement contre le rebord de la bassine. Deux entailles, est-ce là le prix à payer pour que tu sois encore en vie ? deux entailles, est-ce là le prix à payer pour que tu sois encore en vie ?
Dernière édition par Ambroos var Isilm-Irffyn le Dim 9 Fév - 0:35, édité 3 fois |
| | What is truth if not an illusion? | LES AUTRES TERRES Le continent est un lieu vaste, peuplé de royaumes et d’empires tels qu’on les imagine aujourd’hui mais il est également peuplé de royaumes et de pays qu’on ne les imagine pas car peu découverts. Peu d’informations subsistent à leurs sujets, soit cachées par ceux qui en ont un jour eu soit parce que les explorateurs sont peu nombreux, les routes étant rarement aussi sécurisées que celles reliant Oxenfurt à Novigrad. Toutefois, des noms subsistent, des mots, des coutumes, des petits pendants de tradition qui demeurent à travers le temps.
Je ne sais si vous en avez entendu parler un jour, mais laissez-moi vous parler d’Hakland. Une terre située au-delà de Tir Tochair, du désert de Korath et du Passage d’Elskerdeg, une terre aride et sèche et pourtant fertile puisqu’il y a des siècles, les nordiens envoyèrent des exilés et des rebus de leurs sociétés en ces terres pour installer des colonies. L’histoire oublia quelques éléments concernant l’évolution de ces terres, mais aujourd’hui, on en retient de nombreuses cités états vivant avec une harmonie que bien des citoyens du continent aimeraient toucher du bout des doigts. Des cités états de guerriers équestres, majoritairement, aux origines toutes différentes : du nordien du Kovir jusqu’au sudiste de Vicovaro en passant par d’anciens insulaires de Skellige. Hakland est unie quand il s’agit du commerce mais pour la politique, chaque loi est différente est fonction de la cité état dans laquelle vous rentrez. Les terres sont hostiles et loin d’être dénuées de monstres, alors faites attention si d’aventure pour souhaiter vous y rendre. Si leur religion n’est pas uniforme, une créature fait l’objet de l’adoration de bien des Haklandiens, Niya. Cette créature, cette démone, fut à l’origine de la prophétie d’Eltibald concernant la malédiction du soleil noir et pourtant, en ces terres, elle est à l’origine d’une religion qui s’étend bien plus que l’on ne l’imagine.
Au sud du Nilfgaard et non loin d’Ophir, c’est Zangvebar que vous trouverez, moins méconnu que son cousin d’Hakland. Ces terres ne sont pas homogènes dans leur climat, bien plus enclin à trouver du désert et des savanes que des forêts épaisses avec des arbres de mimosa. Le climat y est tropical, avec des saisons des pluies et des saisons bien plus arides, rendant parfois le chemin bien plus délicat que pour aller à Toussaint en période de grandes neiges. Les Zangvebari sont souvent vus, autant par les nordiens que par les Nilfgaardiens comme des barbares, des tribus primitives sans aucunes manières ni aucune intelligence. Croyez-moi, c’est bien faux. Effectivement, leurs villes et villages et leur politique n’est pas aussi engagée et complexe que l’on peut voir dans les territoires du nord du continent, mais pour autant… Ils ne sont pas idiots ni même primitifs et nous les voyons très régulièrement voyager et explorer le nord, autant en quête de culture que pour le commerce entre leur territoire et les autres. Selon les sorceleurs, ce serait également une région fourmillant de l’espèce des kobolds, mais rares sont les sorceleurs revenus pour nous en parler.
Le désert de Korath.. Il y a tant à en dire, croyez-moi mais rares sont ceux qui en sont revenus pour nous narrer les histoires de ce désert vieux de plusieurs millénaires. Il s’agit d’un lieu extrêmement aride et hostile, sans la moindre goutte d’eau à des lieux à la ronde. Le froid nocturne est glacial et presque aussi meurtrier que la chaleur diurne, rendant ce lieu aussi hostile par les monstres et bêtes qui y habitent que par le climat qui y subsiste éternellement. Rares sont ceux qui habitent le désert, et pour ces rares-ci, il s’agit de nomades vivant en constant mouvement et ce, généralement, aux abords du désert. Il n’y a guère que les dragons, selon les légendes, qui arrivent à survivre par ici, même les vampires ayant abandonnés tout espoir de pouvoir survivre en ces terres. Le désert de Korath n’est sous la juridiction d’aucun royaume, mais est terriblement disputé entre le Nilfgaard et la Zerrikania, tout simplement pour les trésors qui sont sous son sable. En effet, si vous croisez des archéologues, des chercheurs ou des historiens, ils vous diront tous la même chose : le désert de Korath, par sa dureté, abrite des trésors d’anciennes civilisations désormais éteintes, des nécropoles et des cités enfouies sous le sable qui jadis abritaient un pan de culture désormais éteint et oublié de tous, même des créatures les plus anciennes. Nous conseillons aux curieux de s’équiper avec le plus de précaution possible s’ils ne souhaitent pas mourir de chaud, de froid ou encore de déshydratation car ce n’est point ici que vous trouvez une rivière ou un lac à deux lieux.
La dernière région, qui est probablement la plus méconnue, n’est autre que Fabiola, nommée après l’explorateur et le clerc Fabio Sach. Ce cher monsieur se rendit alors au-delà de toutes montagnes pour rejoindre la côte occidentale, à l’ouest du vieux continent tel qu’on le connaît, et non loin de la Grande Mer. On retrouve, par là bas, un climat essentiellement froid et humide, très pluvieux et encore plus aux environs du Cap de Fabio. Encore plus loin se trouve les îles de soie, mais surtout, la ville de Cherdian, la capitale de Fabiola qui gère la totalité des colonies Fabiolennes. La région est réputée pour son expertise dans le textile, que ce soit la soie ou le coton. En tout point, ce sont des régions qui n’hésitent nullement à commercer, quand bien même elles sont loin.
- Extrait du septième chapitre de l'ouvrage Le Temps de la Fin, rédigé en 1276 par le vicomte de Lettenhove Julian Alfred Pankratz, plus communément appelé Maître Jaskier. Par Delà Les Montagnes
Dernière édition par Mirage Stormbringer le Mar 24 Déc - 20:15, édité 2 fois |
| | What is truth if not an illusion? |
Ils crient « Pour Hemdall » sur le champ de bataille. Ah, voici venir Yule et ses flocons, voici venir la neige tout droit parvenue des îles de Skellige qui sont aujourd’hui à l’honneur. En cette belle fin d’année, le staff vous offre une petite mise à jour afin de vous remercier d’être ici parmi nous et ce, pour certains, depuis le début de cette belle aventure. Le forum a vécu des heures joyeuses comme des heures sombres, des moments de gloire comme des moments de déshonneur mais il en demeure qu’il est toujours là, toujours debout comme le dirait un certain chanteur d’autre monde.
Pour les quelques temps à venir, l'événement du Pandémonium est encore en cours et ne demande qu'à être rejoint alors n'hésitez surtout pas ! De même, pour rester dans le domaine de l'événementiel, nous avons décider, de concert avec Elerinna de Novigrad et son personnage sorceleur, d'ouvrir un petit event pour Yule, la fête hivernale. Un event qui est réservé aux sorceleurs (et le +1 de chacun d'eux) et qui se trouve ici, au sein du nouveau bastion de l'école des Rats, récemment ajouté, de même que des détails seront ajoutés dans le post concernant les sorceleurs et les bastions. Pour rester dans les ajouts, nous avons créer de nouveaux lieux dans lesquels vous pourrez vous balader. J’ai nommé Hakland, le Désert de Korath, Fabiola, Zangvebar dans la catégorie Au-delà des Montagnes, tandis que nous avons rajouté Vicovaro, Ebbing, et Geso au sein de l’Empire de Nilfgaard et le Haut Posada et le Bas Posada pour Dol Blathanna. Un petit post a été rédigé afin d’expliquer plus en détail ce qu’est Hakland, Fabiola et Zangvebar !
Enfin, comme vous avez pu le constater, le design met à l’honneur nos chers insulaires avec quatre figures importantes représentant quatre symboliques différentes de Skellige. En premier, cette femme assise portant un fléau dans sa main, il s’agit d’une flaminica, ce qui est le plus haut titre chez les druidesses, à l’image de l’archidruide pour leur homologue masculin. Ensuite, l’homme au casque à bois de cerf, il s’agit d’Hemdall, un héros historique qui est prié par nombres d’insulaires pour être celui qui les sauvera du Ragh Nar Roog. Enfin, deux personnages qui, si vous avez joué au jeu, vous reconnaîtrez aisément. L’homme, de dos, épée levée n’est autre que Hjalmar an Craite, le cœur des guerriers de Skellige tandis que la femme à l’épée levée également n’est autre que l’actuelle reine des Îles, Cerys an Craite. Autant de figures qui marquent le paysage des insulaires par leur symbolique et leur utilité au sein d’une société de pirates et de guerriers !
Sur ce, nous vous laissons découvrir ce nouveau design et les petites subtilités qui s’y cachent, et passez de bonnes fêtes !
Avec amour, le staff de Tedd Deireadh.
Dernière édition par Ambroos var Isilm-Irffyn le Dim 9 Fév - 0:20, édité 4 fois |
| | What is truth if not an illusion? | Un banquet et des bâtards toss a beer to ur witcher, o valley o plenty.
La neige recouvre l'endroit de son long et doux manteau blanc. Tout semble figé dans le temps, parfaitement endormi alors que les premiers arrivés conduisent leurs cheveux aux écuries. Les animaux renâclent, fatigués par le froid et le voyage pénible jusqu'à Toussaint. Leurs cavaliers les abandonnent bien vite à leurs mangeoires remplies d'avoine pour entrer au sein du bastion, là où ils ont été conviés. Le bâtiment à l'architecture rustique se dresse alors fièrement devant eux, imposant de part sa taille et ce qu'il représente.
- Tu crois que c'est là ? - Évidemment que c'est là, tête de gland. T'as lu l'invitation non ? T'en vois un autre de bastion de sorceleurs paumé dans la forêt ?
Il n'en voit pas d'autre et pour cause, cette forteresse est bien Caer Ruadhri. Lorsque les deux sorceleurs franchissent le pas de la porte, une douce chaleur les enveloppe et vient dénouer leurs muscles gelés. Elle est diffusée par le feu dansant au fond de l'âtre de l'immense cheminée de cette salle. Cette dernière leur servira tout au long de leur séjour de salle de réception et plus particulièrement de banquet. L'ambiance est à la convivialité et à la fête et les sorceleurs se sentent immédiatement à l'aise. Ils savent parfaitement pourquoi ils sont ici. Pour certes manger et boire, mais également pour fêter comme il se doit la renaissance soudaine de l'école du rat, en parallèle de la si célèbre fête hivernale qu'est Yule. Bastion qui servira également de refuge hivernal aux sorceleurs sur les routes et qui permettra surtout la formation et mutation de nouveaux tueurs de monstres.
L'heure n'est pourtant pas au travail mais bien à la fête, les tables disposées autour de la salle débordent de mets de toutes sortes allant du gibier farci au gratin de pommes de terre. Une odeur alléchante vient chatouiller les narines des deux premiers invités, leur promettant bien des délices pour les heures qui suivront, chaque plats ayant été amené par chacun ou presque, un banquet également aidé par les locaux qui n'ont pas manqués de donner un coup de main, curieusement. De plus, du vin provenant des vignobles voisins est servi à volonté. Tous les ingrédients sont alors réunis pour que vous, sorceleurs et sorceleuses, passiez une bonne soirée et un agréable séjour à Caer Ruadhri.
rédigé et pensé avec l'aide précieuse d'Elerinna de Novigrad.
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